Royalties vous dites ..... Ze3ter !
A ne jamais confondre, droits d’auteur et royalties.
Les droits d’auteur sont perçus sur la reproduction pour tout support et l’exécution publique d’une œuvre. Les pourcentages sont fixes et déclarés au Bureau Marocain des Droits d'Auteurs, ou à ses équivalents à l’étranger, qui se charge ensuite de leur reversement aux artistes... Pourtant ces droits permettent à l’artiste de vivre décemment ( En principe ).
Les Royalties eux, c'est une redevance, un paiement qui doit avoir lieu de manière régulière, en échange d'un droit d'exploitation ( droit d'auteur, droit des marques, vente d'album, etc.) ou d'un droit d'usage d'un service.
Tout artiste est dans l’obligation de signer un contrat avec une maison de disques afin de percevoir des royalties sur l’exploitation de ses œuvres par l’intermédiaire de celle-ci. Les grandes compagnies de disques, abusent de leur pouvoir pour proposer des contrats d’exclusivité toujours plus hermétiques.
Il est en fait question des royalties, c’est-à-dire du pourcentage accordé aux artistes par l’industrie musicale sur la vente et l’exploitation de leurs œuvres et leurs dérivés. (Prenons l'exemple de la France ) Les royalties accordées à l’artiste représentent effectivement de l’ordre de 10 % du prix de gros hors taxes d’un disque. 9 autres pour cent partent à la SDRM pour les auteurs et compositeurs. Restent 81 % pour la maison de disques - qui se répartissent en frais de distribution (entre 25 % et 30 %), frais généraux (entre 15 % et 23 %), promotion et marketing (environ 20 %) et amortissement d’enregistrement.
Bref tout cela est EN PRINCIPE, car au Maroc, tout est flou, rien n'est réel, tout est illusion, au Maroc les producteurs et les distributeurs sont les pirates et les vrais criminels de l'industrie musicales.
Aucun artiste marocain ne peu prétendre récupérer ses royalties et ses droits d'auteurs et ce depuis des années lumières.
voila qui est dit. Chus ...
Les droits d’auteur sont perçus sur la reproduction pour tout support et l’exécution publique d’une œuvre. Les pourcentages sont fixes et déclarés au Bureau Marocain des Droits d'Auteurs, ou à ses équivalents à l’étranger, qui se charge ensuite de leur reversement aux artistes... Pourtant ces droits permettent à l’artiste de vivre décemment ( En principe ).
Les Royalties eux, c'est une redevance, un paiement qui doit avoir lieu de manière régulière, en échange d'un droit d'exploitation ( droit d'auteur, droit des marques, vente d'album, etc.) ou d'un droit d'usage d'un service.
Tout artiste est dans l’obligation de signer un contrat avec une maison de disques afin de percevoir des royalties sur l’exploitation de ses œuvres par l’intermédiaire de celle-ci. Les grandes compagnies de disques, abusent de leur pouvoir pour proposer des contrats d’exclusivité toujours plus hermétiques.
Il est en fait question des royalties, c’est-à-dire du pourcentage accordé aux artistes par l’industrie musicale sur la vente et l’exploitation de leurs œuvres et leurs dérivés. (Prenons l'exemple de la France ) Les royalties accordées à l’artiste représentent effectivement de l’ordre de 10 % du prix de gros hors taxes d’un disque. 9 autres pour cent partent à la SDRM pour les auteurs et compositeurs. Restent 81 % pour la maison de disques - qui se répartissent en frais de distribution (entre 25 % et 30 %), frais généraux (entre 15 % et 23 %), promotion et marketing (environ 20 %) et amortissement d’enregistrement.
Bref tout cela est EN PRINCIPE, car au Maroc, tout est flou, rien n'est réel, tout est illusion, au Maroc les producteurs et les distributeurs sont les pirates et les vrais criminels de l'industrie musicales.
Aucun artiste marocain ne peu prétendre récupérer ses royalties et ses droits d'auteurs et ce depuis des années lumières.
voila qui est dit. Chus ...
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